Choisir un chirurgien pour une augmentation mamaire à Paris
Grâce aux implants mammaires, vous pouvez transformer un petit sein et donner de la sécurité à toute femme qui ne se sent pas à l’aise.
L’augmentation mammaire est une intervention visant à rétablir la taille et le tonus après l’accouchement ou à corriger la différence de volume entre deux seins.
N’oublions pas qu’au cours des 25 dernières années, dans le monde entier, 2,5 millions de femmes ont subi une opération d’augmentation mammaire.
Les femmes d’aujourd’hui n’ont pas à se résigner à avoir des seins plats et donc à renoncer à leur féminité ou à leur sex-appeal.
Si vous êtes l’une d’entre elles, l’implantation mammaire est la solution que vous attendiez. Une chirurgie 100 % féminine.
3 Mythes à démystifier sur l’augmentation mammaire
Les prothèses n’explosent pas dans les avions. Un cliché tellement hors de toute logique que même les médecins en plaisantent : avec toutes les femmes qui sont là, qui ont fait une augmentation mammaire à Paris, on ne trouverait que des hommes dans un avion !
L’allaitement maternel est possible. Les femmes qui ont des implants mammaires peuvent facilement allaiter, sans aucun problème pour elles ou pour le bébé.
Si les prothèses empêchaient la chose la plus naturelle au monde comme l’allaitement maternel, elles ne seraient pas aussi performantes qu’elles le sont.
Difficultés lors des examens médicaux. S’il était prouvé que les implants mammaires ne permettent pas de diagnostiquer le cancer du sein, les autorités sanitaires auraient interdit toute opération d’implantation mammaire.
Une opération d’augmentation mammaire peut transformer un petit sein et donner confiance aux femmes qui ne se sentent pas à l’aise.
Cette opération permet également de restaurer la fermeté et la taille après l’accouchement ou de corriger la différence de volume entre les deux seins.
Avant de subir une opération d’augmentation mammaire, nos patientes ont toujours des doutes ou des questions.
Certains doutes naissent de mythes erronés sur la chirurgie plastique dont nous avons déjà parlé dans un article précédent.
Il y a donc des questions de nature plus pratique, comme le fait de vouloir savoir de quel matériau la prothèse est faite ou combien de temps de repos est nécessaire après avoir subi une opération.
Nous essayons de répondre aux questions les plus fréquemment posées :
1) De quel matériau les implants mammaires sont-ils faits ?
Les prothèses utilisées aujourd’hui sont composées de gel cohésif à l’intérieur et à l’extérieur. Ils sont notamment constitués de plusieurs couches de gel superposées. Cela réduit à zéro le phénomène de suintement des microsphères du gel cohésif, connu sous le nom de « saignement ».
L’intérieur de la prothèse est plutôt fait de silicone cohésif qui ne se disperse pas si l’implant se brise.
2) Quelle est la forme des prothèses ?
Il existe deux types de prothèses : un type rond et un type anatomique ou « goutte ». Les prothèses rondes ont l’avantage de ne pas nécessiter de technique chirurgicale spécifique. Cela est dû au fait que la forme régulière de la prothèse ne nécessite aucun positionnement particulier.
L’inconvénient des prothèses rondes réside dans le fait que, pour obtenir une poitrine d’apparence naturelle, il faut utiliser des prothèses de petite taille.
Les prothèses anatomiques ou « en goutte », en revanche, permettent d’obtenir des volumes plus importants grâce à leur forme anatomique. De plus, ce type de prothèse a l’aspect le plus naturel et il est difficile de distinguer si les seins ont été reconstruits ou non.
La technique d’implantation de ce type de prothèse nécessite l’intervention d’un chirurgien très expérimenté et d’un personnel médical compétent.
3) Quelle est la forme de prothèse qui me convient le mieux ?
Le choix de l’implant le plus approprié est basé sur les besoins, les souhaits et les goûts esthétiques du patient, qui seront accompagnés par l’analyse et l’expertise du chirurgien.
C’est pourquoi, lors de l’examen préliminaire, des simulations sont faites sur le type de résultat et le type de prothèse à utiliser.
4) Combien de temps doit-il s’écouler avant le retour au travail ?
En général, une période de repos d’au moins deux semaines est recommandée, mais il convient de souligner que cette période ne doit pas être comprise comme un repos absolu mais plutôt comme un retour progressif aux activités normales de la vie quotidienne.
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