La problématique du suicide au travail
L’employeur est-il toujours le responsable ?
Plus la productivité est élevée, plus les chances d’avoir un chiffre d’affaires considérable sont grandes.
Certains employeurs n’hésitent pas à demander plus de travail à leurs salariés afin de booster les performances financières de l’entreprise.
En fin de compte, c’est le travailleur qui en pâtit. Épuisé, au bout du rouleau, sujet au stress et à la dépression, le travailleur voit dans le suicide une forme de libération. Et la barrière à franchir avant de passer à l'acte est très mince.
Dans un autre cas, l’employé peut se sentir dévaloriser, victime d’une forme de maltraitance au travail, voir même humilié à la suite de violences verbales répétitives qui peuvent le conduire au suicide.
Pour terminer, ce n’est pas par ce qu’un employé s’ôte la vie sur son lieu de travail qu’il essaye de dénoncer sa situation professionnelle accablante. Il y a d’autres raisons pouvant être liées au suicide au travail.
Par exemple, le fait que la personne suicidaire veuille préserver ses enfants ou ses proches d’une vue macabre. Ou encore que le lieu de travail lui offre l’environnement idéal pour commettre son acte.
Peut-on éviter le suicide au sein de l’entreprise ?
Au sein de l’environnement de travail, le moment de licenciement est sans conteste la période la plus difficile que doit affronter un travailleur.
Ce dernier subit, un traumatise émotionnel et psychologique qui peuvent le pousser à commettre l’acte du suicide.
Le psychologue du travail doit être en mesure de déceler des troubles chez l’individu pour pouvoir prévenir les tentatives de suicide et tirer la sonnette d’alarme auprès des administrations compétentes.
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